Le cri d’alarme de l’OMS est sans appel : devant le nombre croissant de personnes devenues résistantes aux antibiotiques, si aucun traitement de remplacement n’est créé, des millions d’individus trouveront la mort chaque année* et ce phénomène ne fera que s’amplifier, car la moindre infection pourra devenir fatale!
Aussi, depuis 2014, l’Organisation Mondiale de la Santé accorde-t-elle un soin tout particulier pour combattre ce fléau, avec pour objectifs : informer le plus grand nombre, mettre le paquet sur la recherche, provoquer une baisse des infections et contrôler l’usage et la prescription des traitements antimicrobiens. Ces actions commencent à porter leurs fruits et la quantité d’antibiotiques utilisées diminuent, mais n’est ce pas trop tard?
Mais qu’a-t-il bien pu se passer pour que cet extraordinaire médicament, découvert par Fleming dans les années 40 et pour lequel il a reçu le prix nobel de médecine en 1945, qui a totalement révolutionné les soins médicaux et la chirurgie, qui a fait disparaître nombre de maladies infectieuses, mortelles à l’époque comme la pneumonie, la tuberculose, la syphilis… et sauvé des dizaines de millions d’individus, comment ce traitement “miracle” du 20ème siècle a-t-il pu perdre autant de son pouvoir et de son efficacité?
La réponse est simple : NOUS DEVENONS RESISTANTS AUX ANTIBIOTIQUES!
Les responsables
Les élevages intensifs
L’industrialisation à outrance de l’agriculture avec comme objectif un rendement et un profit financier en hausse constante, a entraîné au fil des années des conditions d’élevage indignes et dramatiques d’abord pour les fermiers obligés de suivre la donne économique, pour les animaux en souffrance absolue et enfin pour nous les consommateurs, abusés et dupés par l’affichage de prix toujours plus attractifs. Les misérables conditions de vie de ces animaux ont entraîné l’intégration des antibiotiques dans leur nourriture afin qu’ils ne tombent pas systématiquement malades. Et voilà comment des doses d’antibiotiques passent sans que nous le sachions dans notre organisme simplement en consommant du lait ou de la viande.
L’abus de prescriptions d’antibiotiques par le corps médical
Les antibiotiques représentent Le TRAITEMENT ESSENTIEL lorsque nous sommes atteints d’une infection bactérienne (et non virale) GRAVE. Les antibiotiques sauvent des vies chaque jour. En revanche les utiliser pour tout et n’importe quoi peut réellement nous mettre en danger :
- Graves perturbations de notre flore intestinale : celle-ci comptabilise plus de 500 espèces de bactéries différentes ainsi que des virus, des parasites et des mycelliums (champignons microscopiques). Tous ces micro-organismes vivent selon des règles strictes régies par un écosystème bien défini : certaines bactéries empêchent par exemple la prolifération d’éléments pathogènes comme les champignons responsables entre autres des mycoses. Lorsqu’on prend un traitement à base d’antibiotiques, on va décimer les bactéries nuisibles mais aussi les bonnes bactéries, celles qui garantissaient l’équilibre de notre microbiote, si essentiel à notre santé.
- Antibiorésistance : sur le même principe que la résistance des poux aux multiples traitements chimiques appliqués sur les têtes de nos chérubins, les bactéries pathogènes non tuées par les antibiotiques vont devenir elles aussi résistantes au traitement. Merci à certains médecins qui prescrivent des antibiotiques pour la moindre rhino!
Les conséquences
Au fil du temps, si un individu ingère de façon systématique et habituelle des antibiotiques, il risque bien de faire parti de ces nouvelles victimes dites “résistantes” aux traitements antibiotiques. L’OMS a d’ailleurs établi 3 listes d’agents pathogènes répertoriés sur 3 niveaux différents : critique, élevé et moyen, afin d’aider et de promouvoir la recherche de nouveaux traitements**.
Alors, quoi faire?
Premièrement, bien dissocier les pathologies chroniques des pathologies aïgues.
Pour les chroniques, on peut toujours aider le corps à se soigner naturellement, mais si la ou les causes n’ont pas été supprimées, les symptômes reviendront inévitablement.
Pour les infections aïgues, il existe de merveilleux et très efficaces traitements.
Une infection aïgue est toujours associée à une chute du système immunitaire, elle-même due à une somme de fatigues (stress, insomnies, surmenage physique ou/et intellectuel…).
Première action : SOUTENIR LE SYSTEME IMMUNITAIRE grâce aux pouvoirs des champignons. Mico Five (Micosalud) ou Immufor (SND Nature).
Il sera également important de permettre à son énergie vitale de se focaliser sur le système immunitaire en priorité en mettant au repos les autres grands systèmes (digestif, moteur). Donc diète au moins le premier jour et repos sur 48 heures.
Deuxième action : ERADIQUER L’INFECTION. Ici, le traitement royal c’est l’aromathérapie.
Les huiles essentielles les plus antibactériennes sont Mellaleuca Alternifolia, Origanum Compactum, Cinnamomum Vérum, Thymus Vulgaris a Thujanol.
Ne jamais oublier que l’usage des huiles essentielles doit être maîtrisé par un vrai connaisseur; demandez donc conseil à un praticien professionnel et choisissez l’application en transcutané pour limiter les risques.
Ajouter à ces traitments l’oligothérapie en alternant un jour sur deux au réveil à jeun, une dose de Cuivre/Or/Argent (Oligosol) et une ampoule Manganèse/Cuivre (Oligosol).
Enfin, si au bout de 48 heures l’état ne s’améliore pas, pire se détériore, consultez votre médecin!
*Enquête réalisée depuis 2014 et publiée en 2016 par Jim o’Neill à la demande du gouvernement britannique.
**http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2017/bacteria-antibiotics-needed/fr/